SE RELIER, SE METTRE EN MOUVEMENT, SE MOBILISER EN CONSCIENCE, AVEC COEUR ET AMOUR

Catégorie : Notre Socle

  • Le Compostage dans la Démarche #CodeSocial : Une Synthèse

    La démarche #CodeSocial intègre le compostage comme une pratique centrale pour la transformation individuelle et collective. Le compostage va au-delà du simple recyclage des savoirs et des expériences : c’est un processus holistique qui transforme, nourrit et enrichit nos façons d’être et de faire ensemble. Il se situe à l’intersection de multiples dimensions – le temps, la spiritualité, la valeur et les richesses, et l’approche d’inform’action – créant ainsi un dispositif systémique et puissant pour le changement social.

    Compostage et rapport au temps

    Dans la démarche #CodeSocial, le compostage est intimement lié au temps. Contrairement à une vision linéaire et limitée du temps, le compostage adopte une perspective où passé, présent, et futur coexistent et se nourrissent mutuellement. Le compostage permet de revisiter les expériences passées non pour les figer, mais pour les transformer en ressources fertiles pour le présent et le futur. Le processus est une boucle où chaque expérience passée, lorsqu’elle est mise en conscience, enrichit l’instant présent et clarifie la vision du futur. Cette approche nous invite à sortir du linéaire pour considérer le temps comme une matrice vivante, où chaque moment est une opportunité de transformation.

    Compostage et dimension spirituelle

    Le compostage dans la démarche #CodeSocial revêt une dimension spirituelle. Il est une pratique de soin de l’âme et de la conscience, permettant d’accueillir les pensées, les ressentis, les intuitions et les synchronicités que nous ne percevrions pas si nous vivions les choses de manière strictement rationnelle et linéaire. En revisitant nos expériences et en les compostant, nous créons un lien fort avec la noosphère, cette sphère des idées et des pensées partagées. Le compostage spirituel est un processus qui guérit, libère et nourrit l’esprit, et qui favorise le retour à l’unité. Cette dimension spirituelle s’inscrit aussi dans la pratique du pardon, où le compostage des souffrances passées permet de les transformer en une énergie fertile pour l’avenir.

    Compostage, valeur et richesses

    Le compostage est également un levier pour redéfinir la notion de valeur et de richesse. Dans un monde où la valeur est trop souvent réduite à des indicateurs financiers, le compostage des expériences dans la démarche #CodeSocial permet de redonner du sens à la richesse humaine, en incluant les liens, les émotions, les créations, et les apprentissages partagés. Les matrices de richesses sont des outils qui viennent compléter cette dynamique en permettant de cartographier les contributions diverses au sein d’un écosystème. Ces matrices prennent en compte les apports matériels, immatériels, individuels et collectifs, créant une vision systémique de la valeur. La transparence et la reconnaissance de ces apports créent un territoire de confiance où chacun se sent légitime et valorisé, renforçant le récit collectif et la richesse partagée.

    Compostage et inform’action : “Tous acteurs, Tous Médias”

    Le compostage s’inscrit également dans une démarche d’inform’action, une approche où chacun devient acteur et média de ses propres expériences. L’idée est de créer un espace où l’information est partagée de manière collective et consciente, enrichissant ainsi la communauté tout entière. Le compostage des savoirs et des expériences, dans le cadre de l’inform’action, est un processus dynamique et vivant, qui transforme chaque information en une matière fertile. Cette approche “Tous acteurs, Tous Médias” signifie que chaque membre de la communauté contribue à faire circuler, enrichir et transformer l’information, renforçant ainsi le lien social et nourrissant la transformation collective.

    Dispositifs complémentaires : #EspritOFF et 36 Photos

    Les dispositifs tels que #EspritOFF et 36 Photos viennent soutenir le compostage dans la démarche #CodeSocial. L’Esprit #OFF propose une méthode créative et ouverte pour poser son attention sur un événement, une organisation ou un contexte, et l’interroger librement. Il permet de sortir des cadres conventionnels pour explorer de nouvelles perspectives et nourrit le compostage par une approche participative et innovante. Le dispositif 36 Photos utilise la photographie comme support de démarche maïeutique, invitant chaque participant à explorer et à questionner le contexte, tout en compostant ses connaissances pour en faire émerger de nouvelles. Ensemble, ces dispositifs créent un environnement favorable à la co-construction et à l’innovation.

    Vers une économie consciente au service du vivant

    Le compostage, en tant que pratique structurante de la démarche #CodeSocial, s’inscrit dans une vision plus large d’une économie consciente au service du vivant et de la joie. En transformant les expériences, les connaissances et les émotions, le compostage permet de créer une nouvelle forme de richesse, fondée sur la coopération, la reconnaissance, et la confiance. Les grandes évolutions économiques ont toujours été précédées par des avancées scientifiques et culturelles, et aujourd’hui, les sciences post-matérialistes et la physique de l’information offrent des perspectives nouvelles pour repenser la valeur et la richesse. En s’inscrivant dans ces dynamiques, le compostage devient un levier de transformation non seulement des individus, mais aussi des organisations et des territoires, en créant des espaces de confiance où chacun peut contribuer et s’épanouir.

    Conclusion

    Le compostage dans la démarche #CodeSocial est une pratique intégrative et systémique, qui relie le temps, la spiritualité, la valeur, et la circulation de l’information. En tant que processus de transformation, il nourrit le récit collectif, crée de la richesse, et favorise la confiance et la coopération. C’est une démarche qui appelle à la fois à l’innovation, à la créativité, et à une économie consciente, offrant ainsi un chemin vers un avenir où le vivant et la joie sont au centre de chaque action.

  • Ambassade et 1er m² numérique

    La notion d’ambassades en ligne et de premier mètre carré numérique (1er M² Numérique) est une approche pour naviguer dans l’écosystème numérique de manière consciente et personnalisée. Cette idée souligne l’importance de se réapproprier son espace numérique et de l’adapter à ses besoins individuels, tout en interagissant de manière significative avec le monde numérique plus large. Voici une exploration de ces concepts :

    Réappropriation de l’Espace Numérique: L’idée du 1er M² Numérique est celle de personnaliser et de contrôler son espace numérique, tout comme on le ferait avec son espace physique personnel. Cela implique de choisir consciemment les outils, les plateformes et les contenus qui reflètent les besoins, les désirs et les valeurs individuels.

    Interactions Conscientes avec le Monde Numérique: En considérant Internet et le Web comme des espaces plus vastes que les grandes plateformes et silos sociaux, vous soulignez l’importance des interactions conscientes et choisies avec le monde numérique.

    Ambassades en Ligne Comme Points de Connexion: Les ambassades en ligne agissent comme des points de connexion et de représentation dans ce vaste territoire numérique. Elles servent de lieux où les individus peuvent interagir avec d’autres habitants du monde numérique, en restant fidèles à leurs propres principes et valeurs.

    Rôle de la Mutuelle des Connaissances
    Accompagnement dans le Monde Numérique: Construite sur le socle de la démarche #CodeSocial, la mutuelle des connaissances accompagne les individus dans leur cheminement vers une meilleure qualité de vie numérique, offrant des services physiques et virtuels.

    Service Physique et Virtuel: Les “Maisons de ChezNous” offrent un espace physique pour le partage et l’intelligence collective, tandis que les outils numériques facilitent l’interaction et la collaboration en ligne.

    La dynamique de l’Environnement Contributif et Connecté (ECC): Ces espaces sont conçus pour soutenir les intentions individuelles et collectives, en faisant partie d’un environnement contributif et connecté.

    Conclusion
    En somme, l’idée des ambassades en ligne et du premier mètre carré numérique est une métaphore puissante pour la manière dont les individus peuvent habiter et interagir consciemment dans l’espace numérique. Cette approche favorise non seulement une utilisation plus personnelle et significative de la technologie, mais encourage également une participation active dans un écosystème numérique diversifié, en dehors des plateformes conventionnelles. En intégrant ces concepts dans la mutuelle des connaissances et en offrant des espaces physiques et virtuels pour l’exploration et la collaboration, nous ouvrons la voie à une expérience numérique plus riche, plus consciente et plus personnalisée.

  • Une mutuelle

    Au départ l’ensemble des mutuelles se sont construites sur le constat d’un manque, sur une évidence d’un service mal rendu.

     Les motards se sont réunis sous forme de mutuelle pour faire face à une situation qui leur paraissait intenable. Aujourd’hui avec la mutuelle que nous allons créer, il en est de même avec une situation intenable vis à vis du vivant et du partage de la connaissance ! 

    Une mutuelle qui offrira à ses clients des services permettant une économie sociale et familiale au service du vivant et du développement de territoires apprenants et résilients.

    Notre mutuelle se positionne comme un spécialiste de la vie quotidienne. Elle propose des services sur les aspects importants de la vie quotidienne, en famille ou en collectivité. Collectivement nous pourrions développer une maîtrise de l’organisation domestique et posséder la fibre pédagogique. Le volet éducatif est très important. L’économie familiale et sociale est une discipline majeure pour améliorer les conditions de l’équilibre familial, de l’épanouissement individuel et du bien-être social  ainsi que pour  protéger les intérêts de chacun  dans sa  vie quotidienne.

  • La Révolution du Sourire

    “La Révolution du Sourire” est venue d’un cri du cœur,  d’une volonté de qualifier l’action et de lui donner du sens.Une façon de « ré-habiter » les lieux de proximité et le quotidien d’une énergie positive, de redonner la place aux rêves dans des actions concrètes, de comprendre qu’il suffit de mettre un petit nombre de paramètres en place pour faire reculer l’individualisme dont le monde souffre, de repousser les limites et d’augmenter le champ des possibles.Marcher sur des utopies, c’est, à force de conviction et de travail, leur donner corps. Travailler sans relâche sur la transversalité évidente de la vie. Fonder l’action sur l’échange et le partage, une non-violence active et déterminée prenant sa source dans une “spiritualité ouverte”. En fait, participer activement à la construction d’un monde de paix fondé sur le respect des êtres humains et de la nature. (Mathieu Coste – juin 2001)

    L’idée de la révolution du sourire est au coeur du compostage qui a permis le compostage à l’origine du développement de la mutuelle.

  • Plaidoyer pour notre humanité

    Cette démarche a pour intention de nous rassembler, de prendre conscience que nous sommes nombreux à partager ces valeurs humaines. Nous relier dans ce désir de remettre le vivant au cœur de la société, avec une économie à son service.

    Plaidoyer pour grandir tous ensemble avec ce monde qui change incarner les droits & devoirs de l’Homme & du citoyen

    C’est un appel qui s’adresse à l’être humain en chacun de nous, pour que nos organisations et plus globalement notre société, constituée par chacun d’entre nous, évoluent vers plus d’humanité.

    Notre intention est d’être chacun à son plein potentiel pour mieux agir pour le monde

    Les enjeux environnementaux & sociaux nous concernent tous.

    Nous percevons la crise environnementale & sociale comme une opportunité d’évoluer, de changer individuellement & collectivement afin de développer notre résonnance avec ce monde.

    Nous œuvrons dès aujourd’hui pour 

    • agir davantage en coopération qu’en compétition.
    • instruire chacun d’entre nous sur cette conscience écologique et humaine et contribuer à l’instruction pour tous
    • nous connecter davantage avec le Vivant présent en nous & autour de nous.

    Nous croyons en une croissance humaine plutôt que simplement économique, avec cette envie et cette volonté de saisir chaque opportunité pour se remettre en cause, grandir et évoluer.

    Par vivant, nous entendons cet élan en nous, d’être à l’écoute de nos émotions, besoins & valeurs pour œuvrer au bien commun, conscients de notre interdépendance, révélant ainsi le potentiel en chacun.

    En étant ainsi nous-mêmes épanouis et cohérents, nous pouvons exprimer notre plein potentiel, pour nous même, nos familles, nos amis, notre entourage, nos entreprises, nos territoires, nos pays et pour le monde.

    Nous souhaitons être acteurs d’un changement au travers de valeurs qui nous rassemblent fondées sur la Bienveillance et l’Accomplissementde soi.

    PS : ce plaidoyer est repris en conscience de l’appel publié ici

  • 36 photos

    Nous pouvons tous participer à transformer la réalité, construire le renouveau de l’humanité et prendre soin du vivant … y croire avec amour et intégrité c’est le début d’une autre réalité… Le futur se construit dans notre capacité à rêver ensemble et à construire ces rêves en réalité concrète.

    Nous sommes tous une partie de la solution. C’est en nous reliant, en développant la coopération, notre pouvoir de questionnement, l’entraide, l’intelligence collective à partir de chaque territoire que nous pouvons réussir à transformer le quotidien et faire qu’il se rapproche de nos intentions avec cohérence et intégrité. C’est cette conviction que le changement viendra de chacun de nous, relié aux autres, qui nous a conduit à lancer 36 photos pour « la révolution du sourire »

    36 photos pour la révolution du sourire, est un dispositif transmédia , il met en lumière son environnement, permet de le questionner et de construire ensemble des questions et une réalité partagée. La co-construction des visions est ce que nous appelons une “graine de connaissance”. Chaque photo est une invitation à la conversation, à la co-nnaissance, à la rencontre et au co-développement du système d’information en bien commun. Ainsi, à partir d’une simple photo, nous nous mettons en mouvement et prenons conscience de notre environnement et comment il nous façonne. De façon ludique, nous développons une économie de la connaissance au service de la reliance et du soin, nous dynamisons le lien social, valorisons l’existant, développons les richesses du territoire, soutenons l’initiative et favorisons la coopération.

    Photographier ce qui, à proximité de nous, nous questionne est un bon moyen de mobiliser les consciences. C’est un premier pas simple à faire pour nous mettre en mouvement. Nous sommes aujourd’hui de plus en plus nombreux à être équipés de smartphones et n’avons jamais produit autant de photos. Prenons conscience de leur possible impact pour nous en servir dans le but de transformer le monde en mettant de la conscience qui passe en mettant de l’attention.

    Par exemple, la photo d’un potager permet de soulever des questions au sujet de notre alimentation ou des espaces cultivables. Ou encore, la photo d’un bâtiment vide qui se dégrade dans notre rue où on habite permet de nous interroger sur la faisabilité de sa réfection et son usage futur. Pour chaque question qui émerge, une équipe peut se constituer pour y répondre de façon concrète et faire ainsi naître des actions concrètes. Les différentes graines de connaissances sont toutes reliées les unes aux autres et participent ainsi à développer un territoire apprenant, contributif, symbiotique et mobilisé pour sa transformation. Le jeu permet à chacun de prendre part aux transitions en cours et entraîne des actions concrètes dans la vie des participants, qui améliorent ensemble leur quotidien. Si chacun fait un peu, nous en bénéficions tous et permet à chacun de s’exprimer, l’air de rien de devenir acteur et d’exprimer une part de sa singularité !

    L’énergie de notre attention donne son architecture à ce monde. Nous pouvons construire ensemble une nouvelle réalité, à partir de chaque quartier, de chaque village, de chaque contexte. Ce dispositif est une invitation à comprendre notre immense pouvoir dans un environnement où monde numérique et monde physique n’ont jamais été ainsi imbriqués. L’expression “Nos pixels façonnent le monde” pourrait en résumer le propos (voir 4e de couverture). Le “super pouvoir” dont chacun de nous est aujourd’hui doté peut s’appliquer à l’ensemble des domaines qui font notre quotidien avec 36 photos nous sommes invités à être attentif là où nous choisissons de porter notre attention.

    Le dispositif alimente la dynamique des « graines de connaissance » duplicable, n’a pas de frontière géographique. :

    Lancé à partir de n’importe quel territoire ce dispositif  est viral. Il peut se déployer à l’échelle du globe.

    Accompagner à mettre de la conscience sur l’objet de notre attention à travers ce dispositif permet de se réapproprier la vie de la cité et prendre part aux mutations en cours. Cela  nous semble nécessaire et très excitant.

  • Les graines de connaissance

    pour faire grandir une économie de la connaissance ouverte

    L’énergie de notre attention donne son architecture à ce monde. Nous pouvons construire ensemble une nouvelle réalité, à partir de chaque territoire, de chaque individu, de chaque quartier, de chaque village. Nous pouvons planter des graines de connaissance, en prendre soin et les laisser participer à la régénération de nos écosystèmes.



    Déjà enfant et encore plus quand nous devenons adultes, on nous demande souvent de croire à l’incroyable, d’accepter l’inacceptable, de trouver logique ce qui ne l’est pas. On nous demande d’accepter le monde tel qu’il est et d’y trouver notre place. Pourtant, notre voix d’enfant continue de nous chuchoter : « En fait, c’est plutôt comme ceci qu’il faudrait faire pour que les choses aillent mieux. ». Nous pouvons bien sûr faire comme si nous ne l’avions pas entendue. Et, nous pouvons aussi y prêter l’oreille et le partager. Nous pouvons entrer dans une dynamique collective de co-naissance.

    Oser écouter ce que nos  âmes “d’enfants” ont à nous dire pour que, tous ensemble, nous puissions agir concrètement et contribuer à des changements souhaitables pour le monde.

    Nos questions, nos étonnements sont d’une puissance incroyable pour agir sur le monde.
    Continuons de nous en poser chaque jour. Nos « pourquoi » sont légitimes. Cela vaut le coup de les transformer en « pourquoi pas ». Et, en nous entourant des personnes partageant le même état d’esprit, c’est par nos actions et par notre mise en relation que nous pouvons avancer sur le chemin !
    C’est pour cela que nous avons créé une mutuelle des connaissance.
    Mutualiser notre pouvoir de questionnement et la puissance de notre attention est au cœur de notre démarche. C’est une proposition de co-construction massive ouverte à chacun.

    La démarche des graines de connaissance est une méthode suscitant la mise en forme des pensées par le dialogue, l’échange, la contradiction, la visualisation et la rencontre des pensées différentes.


    C’est une dynamique qui nous invite à  partir de nos questionnements en étant attentif de notre intention profonde à choisir de participer à une graine de connaissance avec l’envie d’apporter sa contribution dans une envie de grandir ensemble.. C’est co-construire dans un échange ouvert et constructif, dans l’accueil de l’avis de chacun incluant son propre avis en questionnant d’où ça part et ce que cela sert. C’est être dans la conscience que chaque contribution est un cadeau.

    Le pouvoir du questionnement. Pourquoi pas ? Chaque question devient le début de la construction d’une graine de connaissance. Elles viennent se connecter à d’autres et forment la base d’un paysage de connaissance et de confiance capable d’influencer le réel. Là où nous portons notre attention individuellement & collectivement nous avons un puissant pouvoir de transformation.

    Les graines de connaissance se construisent à partir d’un questionnement.
    Elles sont fondées sur la maïeutique et l’approche de la cartographie de la controverse. Elles permettent de constituer une communauté d’intérêt autour d’un sujet. Nous dessinons collectivement les paysages de la connaissance pour que chacun puisse trouver son chemin en conscience et en intégrité.  Les graines de connaissances participent à la mise en dynamique des savoirs et permettent aux membres de la mutuelle de s’inspirer les uns les autres pour développer une créativité au service de ce qui nous met en énergie.

    Elles sont constituées de contenus multimédias,  de ressources web, de personnes ressources, d’une équipe d’animation et de chaque personne qui souhaite rejoindre la dynamique.

    Les graines de connaissances accompagnent l’animation de communautés de pratiques et d’intérêts. Elles se développent à l’aide de l’état d’esprit & des outils de l’ECC. Elles se construisent à partir d’un questionnement et peuvent se combiner pour donner naissance à une autre et se relier à l’infini.

    Chaque graine est introduite par un document collaboratif de mise en contexte produit dans l’environnement contributif et connecté (ECC). Il met en perspective les questionnements et ouvre des pistes de réflexion. 

    voir : https://bra.in/3jQYDE

  • Présentation Générale

    WeMob développe une mutuelle des connaissances pour les individus et les organisations. Un service construit à partir d’un écosystème contributif constitué de chaque personne partageant des valeurs communes et l’envie de se relier avec coeur et conscience. Cet écosystème se développe à partir de l’usage d’une technologie de reliance:  la démarche #CodeSocial .

    WeMob édite la démarche #CodeSocial comme une démarche #opensource. Elle peut être utilisée dans d’autres contextes et pour des projets divers et variés.

    Powered By EmbedPress

    Vous aussi vous pouvez devenir ambassadeur et rejoindre l’expérimentation en vous inscrivant ici

  • Contexte sociétal

    La perte de nos repères, les Poly-crises (sociales, économiques, environnementales, sanitaires, politique), la vitesse de transformation de nos sociétés due à la révolution numérique mettent chacun de nous dans une position très particulière. Nous avons des difficultés à nous projeter dans l’avenir. Notre quotidien est de plus en plus impacté par la globalisation d’un monde que certains pensent être en grand danger.

    Nous y voyons l’opportunité d’être inventifs pour changer le cours des choses et impulser de nouvelles dynamiques sociétales. Nous sommes tous une partie de la solution, et aussi du problème. C’est en développant de façon systémique la coopération, l’entraide, l’intelligence collective à partir de chaque territoire (individuel, collectif et sociétal) que nous pouvons changer de logique en voyant une opportunité d’évoluer dans chaque expérience.

    L’imagination et la créativité n’ont jamais été autant nécessaires afin de construire un monde plus harmonieux. Cependant les individus peinent à trouver des soutiens pour leur permettre d’agir, de créer, et d’être en harmonie dans ce nouveau monde qui émerge sous leurs yeux.

    Il nous semble essentiel de mutualiser les énergies et de relier les singularités afin de gagner en efficience. L’énergie de notre attention et de notre capacité à rêver donne son architecture à ce monde. Nous pouvons construire ensemble une nouvelle réalité.

    Notre capacité d’action collective n’a jamais été si grande. Internet et l’ensemble des réseaux de communication ont permis d’interconnecter les personnes et les idées. De nombreuses initiatives montrent qu’une autre façon d’agir existe.

    Les effets de la révolution informatique accélèrent l’entrée des sociétés humaines dans une nouvelle phase d’évolution. Des mouvements comme le transhumanisme, la collapsologie interrogent profondément la vision du monde, la place de l’humain et du vivant. Quel monde laisserons-nous à nos enfants ? Quels enfants laisserons-nous à la nature ?

    Les enjeux sont complexes et les mutations rapides, l’économie de la connaissance et l’économie numérique sont de puissants leviers de croissance à partager avec le plus grand nombre. Pour cela, nous souhaitons nous donner les moyens de bien les intégrer et surtout de les mettre en mouvement de façon efficiente et résiliente à tous les niveaux (local et global, individuel et collectif).

    Nous voyons l’opportunité de nous libérer de notre vision binaire qui oppose pour relier et mutualiser nos complémentarités…
    la complexité demande de changer de façon d’aborder le présent, le passé et l’avenir…
    Nous avons besoin d’imaginer de nouvelles architectures sociétales. Nous sommes face à une situation qui donne l’opportunité de faire émerger une véritable économie de la connaissance ouverte incarnée localement afin que le plus grand nombre puisse faire l’expérience du possible changement de paradigme.
    C’est l’opportunité de développer des territoires apprenants et résilients au service du vivant et honorer le miracle de la Vie.

  • L’artiste au coeur de l’innovation sociétale

    Dans un monde où l’artiste est souvent l’ouvrier de l’économie créative, nous voulons remettre l’artiste au cœur de la démarche créative et sociétale.

    L’artiste interroge le sens, les fondements, les perspectives… il n’est pas juste là pour créer des produits ou participer à l’embellissement de surface d’un monde devenu insupportable.

    Nous mettons la démarche artistique et transversale au cœur de notre développement. Nous interrogeons les modèles économiques du monde artistique et souhaitons faire que l’artiste ne soit pas dans l’obligation de produire pour être valorisé.

    Nous souhaitons mettre l’artiste au cœur de la démarche sociétale afin de nous aider à décloisonner nos esprits et vivre une re-naissance de l’être au profit d’un monde basé sur les valeurs humanistes et écologiques plutôt que sur un matérialisme et de la compétition.

    Nous considérons l’éducation populaire comme un accès à l’art sous toutes ses formes. L’art se veut populaire car démocratisé dans sa pratique et dans son approche.

    Le propre de l’Artiste est de ne pas avoir été coupé de son monde intérieur et de ses liens avec l’Univers, ou qu’il les ait retrouvés. C’est ce qui lui permet à travers son œuvre soit d’être un lanceur d’alertes, soit de redonner du Sens à notre civilisation égarée et de provoquer l’interrogation de son public sur leur vécu dans ce monde.

    Sa liberté d’être et d’agir est là pour aider ceux qui approchent son travail, à s’ouvrir et développer leurs propres talents et potentialités. Avant toute chose, c’est sa liberté que les autres doivent protéger.

    L’Art est inné car au préalable il existe dans les formes et structures de la nature de l’infiniment petit à l’infiniment grand, mais il est bridé par le premier contact avec l’éducation mal comprise de notre société.

    Le déploiement des talents – de tous les talents – peut et doit se faire naturellement par la fréquentation de la nature, l’observation de la vie et les échanges avec les autres. C’est ce contact rompu qui a permis de faire dévier notre civilisation.

    Les enseignements des anciens méritent d’être accessibles à tous et ne sauraient être oubliés. Nous souhaitons oeuvrer pour les retrouver et les ré-adapter à nos connaissances actuelles, en s’en inspirant.

    En somme, chacun ayant en soi la capacité de créer, même s’il n’en fait pas l’occupation de sa vie, c’est aussi sa part de liberté, et à ce titre, elle doit aussi être protégée.

    Nous souhaitons permettre de créer un réseau de ‘héros’ au féminin et au masculin pluriel qui, tour à tour, sont ‘gardiens’ des uns des autres ; un espace – temps aussi de ressources pour accueillir l’enfant et sa source en voie de jaillissement ; un socle de valeurs communes dont le respect mutuel du différent et la conscience de notre reliance, et interdépendance.

    Dans notre société, notre valeur humaine intrinsèque est encore (trop) souvent amalgamée avec une valeur “marchande”, ce que nous pouvons produire, générer ou obtenir en termes d’argent. Pourtant, le plus beau et le meilleur de nous ne peut nécessairement se comptabiliser, s’évaluer ni se marchander ; ne peut se réduire à notre capacité de production.

    Il nous revient à nous, individu(e)s, de trouver le chemin qui différencie le “faire” de l’“être”.

    Etre accompagné(e)s peut nous y aider. Le déploiement des talents de chacun(e) favorise le développement de nos richesses et relations humaines.

    En cela, le modèle artistique est au cœur du modèle de ‘communauté’ souhaité. Et l’artiste en soi, reconnu et soutenu dans sa « liberté d’être et d’agir », est bien au cœur de notre développement.

    PS : ces lignes sont au coeur de notre #CodeSocial dans le modèle artistique et culturel. Nous les partageons avec “La Révolution du Sourire”. La démarche #CodeSocial permet concrètement de relier des intentions entre des organisations, des projets et des idées et ainsi renforcer les liens dans le cadres du développement de catalogue contributif puissant.

    PS’: l’image en avant est un hommage à l’oeuvre de Yann Leguennec

  • La démarche #CodeSocial, une brique de construction pour une économie du vivant.

    “De nouveaux outils naissent pour s’adapter à cette architecture mouvante. Le concept d’interopérabilité se développe pour permettre aux individus, aux organisations de plus facilement s’assembler. En affichant clairement les processus selon un même code, une même grammaire, les organisations peuvent plus facilement communiquer, cerner les valeurs communes ou clivantes, et comprendre les modes opératoires qu’elles appliquent.

    En France, Mathieu Coste a inventé le #CodeSocial. Observant comment, sur Internet, des développeurs pouvaient construire une œuvre complexe en se basant sur un même protocole et des processus documentés, il a produit l’équivalent pour l’entreprise et plus généralement pour n’importe quelle organisation. Le #CodeSocial est un protocole permettant de décrire de façon unifiée les modèles sociaux et humains,  culturels et artistiques, écologiques, économiques, technologiques, juridiques et financiers. Fractal, il s’applique jusqu’au niveau du projet. Il établit ainsi une forme de “code de la route” où les valeurs affichées sont opérationnalisées.

    Ce type d’outil, s’il est utilisable par n’importe quelle entreprise, association ou institution, est particulièrement adapté aux communs entrepreneuriaux : il permet aux différents acteurs de se décrire d’une même façon tout en gardant leur individualité. Ce faisant, il leur est plus facile d’entamer d’éventuelles coopérations. Il s’agit d’une forme de mise en interopérabilité des entreprises et des projets. Le développement de ce type de concept témoigne de la forte progression de l’organisation méta-entrepreneuriale.

    Isabelle Delannoy cite ainsi le #CodeSocial à la page 188 de son livre “L’économie Symbiotique”.  ( Note de lecture du livre d’Isabelle Delannoy par Claude Rochet  : )

    source : https://www.symbioses-citoyennes.fr/2019/09/15/leconomie-symbiotique-infografiche/ et schéma économie symbiotique : Thibault Mangeard (auteur de l’identité visuelle de WeMob)

    voir : https://codesocial.org

  • Modèle de communauté

    WeMob est un écosystème contributif agissant au service d’intentions communes. Nous formons une communauté d’acteurs autonomes et reliés par un même état d’esprit. Nous développons des règles et des pratiques communes pour favoriser la construction d’un territoire de confiance incluant la dimension individuelle, collective et sociétale propice au développement de l’intelligence collective et de l’innovation sociétale. Pour construire l’écosystème nous éditons et utilisons la démarche #CodeSocial. Nous accompagnons aussi l’émergence d’autres écosystèmes contributifs à partir de cette méthode de description, de reliance et d’opérationnalisation. Nous partageons le rêve qu’il est possible d’agir concrètement pour développer une économie capable de régénérer les écosystèmes (sociaux et naturels).

    Source d’inspiration, nous aidons à la mise en mouvement de l’idée de la Révolution du Sourire

    L’accompagnement… un fondement pour Nous 

    A. Accompagner chacun(e) dans la révélation et la valorisation de ses talents.

    C. Co-construire un socle bienveillant, convivial et efficient.

    C. Co-créer les conditions favorables aux synergies.

    O. Observer attentivement ce qui émerge spontanément.

    M. Mutualiser les bonnes pratiques.

    P. Promouvoir une visée commune autour du vivant.

    A. Animer l’esprit de communauté.

    G. Garantir une médiation en cas de difficultés.

    N. Nourrir le terreau de l’être-ensemble.

    E. Élargir les possibilités de réalisation collective.

    R. Relier nos énergies dans le sens d’une évolution constante.

    Nous souhaitons nous inspirer d’une démarche inspirée par le vivant (stigmergie et holoptisme) et par l’utopie Internet basée sur une économie de la connaissance ouverte.

    Contribuer c’est donc souscrire à l’idée que tout projet est défini par des principes, et que c’est dans le cadre de règles clairement définies que peuvent se développer d’authentiques dynamiques stigmergiques :-). En biologie, la stigmergie est un mécanisme de coordination indirecte entre les agents. Le principe est que la trace laissée dans l’environnement par l’action initiale stimule une action suivante, par le même agent ou un agent différent.

    Plus que la transparence totale, nous mettons en avant la pratique du processus ouvert. Toutes les informations ne sont pas accessibles à tous mais les procédures pour y accéder sont claires et partagées. C’est par cette pratique que nous développons l’holoptisme nécessaire à mettre la confiance au cœur de la communauté. L’holoptisme se définit comme un « Espace physique ou virtuel dont l’architecture est intentionnellement conçue pour donner à ses acteurs la faculté de voir et percevoir l’ensemble de ce qui s’y déroule.”

    Nous expérimentons un certain nombre d’outils et de méthodologies au service de nos intentions afin permettre à l’écosystème WeMob

    • D’oeuvrer ensemble efficacement sur la base de principes clairement définis (#CodeSocial)
    • D’interagir de manière fluide (Système d’information ouvert, Environnement Contributif et Connecté – ECC)
    • De collaborer de manière agile et décentralisée dans un climat de confiance et de joie
    • De partager nos services et opportunités (Catalogue contributif)
    • De répartir ouvertement la valeur collectivement générée (Matrices de richesses)

    Les socles de notre état d’esprit au service de l’intelligence collective

    Processus Ouvert (OpenProcess). Il ne s’agit pas de transparence totale mais simplement de répondre au besoin de rendre les règles du jeu claires et partagées. Dans la pratique, il s’agit de :

    • maintenir et de faire évoluer le #CodeSocial du projet de façon ouverte et transparente.
    • produire une fiche d’identité et des compte-rendus d’activités réguliers,
    • établir une évaluation des flux de richesses pour chaque mission-projet qui permette de visualiser les ressources (qualitatives et quantitatives) et les flux d’échanges (organisation ou relation) entre les membres.
    • qualifier les liens de partenariat.

    Retour d’expériences (FeedBack). Il s’agit de la participation à l’évolution du projet : dire ce qu’on fait et faire ce qu’on dit. Le FeedBack sert à partager ou repérer les bonnes pratiques, les difficultés, les futures améliorations. Il est une constituante du processus d’auto-animation de la communauté.

    L’être ensemble 

    Nous oeuvrons pour la construction d’une communauté d’ « inter-êtres » basée sur la confiance, l’efficience, l’auto-organisation et l’intelligence collective.

    Les relations humaines s’inscrivent dans une perspective de bienveillance, d’autonomie, de confiance, de transparence, de réciprocité et d’ouverture à la reliance. Nous souhaitons offrir l’expérience d’un réel inter-être, où l’individualité de chacun est pleinement respectée.

    Nous accordons une place importante à l’hospitalité, à la joie, au jeu, aux fêtes et célébrations, aux moments en dehors de toute production, recherchant la convivialité et le lien humain.

    La confiance à priori et l’aptitude à faire confiance aux autres sont des fondamentaux auxquels nous tenons particulièrement.

    Les postures critiques sont les bienvenues à condition qu’elles soient bienveillantes et constructives.

    Le respect, l’écoute de la pensée et de la parole de tous, qui se traduit dans l’équité des temps de parole, est un autre des fondamentaux.

    Pour que le processus collectif donne le maximum, nous supposons la bonne foi. Cela signifie que nous croyons que tous ceux qui contribuent, le font dans une optique informative, éducative, pertinente et enrichissante. Supposer la bonne foi est une valeur clé. Peu importe la contribution, nous donnons aux personnes le bénéfice du doute et partons du principe que ceux qui participent adhèrent et soutiennent notre démarche. C’est ce que nous appelons les contributions constructives.

    En cas d’erreurs, la nature de la communauté fait qu’il est facile de les corriger. Notre auto-organisation et les règles contributives le permettent.

    Supposer la bonne foi signifie que quand nous trouvons une erreur, nous oeuvrons pour la corriger et nous nous souvenons que la personne qui a fait l’erreur a aussi œuvré pour améliorer les ressources et construire les communs.

    Tout ce que nous faisons, nous le faisons en tant que membres d’une communauté agissant pour développer un bien commun.. Chaque mission est un ouvrage commun. En contribuant, nous faisons confiance à la communauté pour reconnaître la valeur de notre ouvrage.

    Le respect de la communauté est un bien précieux, c’est notre bien commun et même si nous ne pouvons pas toujours être d’accord nous en prenons soin collectivement.

    Nous croyons qu’un groupe de personnes oeuvrant ensemble est en soi un résultat profond et de valeur. Nous espérons créer des espaces où de belles constructions se produiront. C’est la philosophie qui nous anime dans l’optique de créations communes et pérennes.

    Les contributions de chacun sont un cadeau pour la communauté. Pour que la communauté s’épanouisse, laissez aller vos contributions. Tentez d’être en accord avec cela. Il est toujours temps de revenir sur une contribution, la transformer, en débattre. Nous sommes bienveillants les uns envers les autres. Pour collaborer sur un ouvrage, c’est mieux d’avoir confiance et d’être aligné sur des intentions communes. Les raisons pour que la coopération se mette en place est que nous sommes des personnes et que c’est profondément dans notre nature de faire les choses ensemble.

    Contribuer se fait dans la confiance. Faites confiance à la communauté pour vous impliquer dans votre ouvrage dans une envie d’évolution. Les membres ayant l’expérience de la communauté sont là pour protéger votre ouvrage. La confiance s’accroît avec le temps et l’expérience. Testez le en contribuant, puis regardez le résultat !

  • Un catalogue contributif

    Un catalogue contributif

    Le coeur du modèle économique de l’écosystème contributif WeMob. Des produits et des services choisis et mis en avant par les membres de l’écosystème pour construire concrètement des territoires apprenants et résilients.

    La notion de “catalogue contributif” décrit est une brique fondamentale du modèle d’affaires, étroitement liée à la démarche #CodeSocial et aux matrices de richesses. Cette approche renforce la coopération au sein de l’écosystème contributif et à promouvoir des dynamiques de co-essaimage et de commercialisation croisée. Voici une analyse de cette notion :

    Objectifs et Fonctionnalités du Catalogue Contributif

    Coopération Étendue: Le catalogue contributif est conçu pour faciliter une coopération intense entre les membres de l’écosystème, permettant le partage et l’échange d’offres, de services, et de compétences.

    Dynamiques de Co-essaimage et Commercialisation Croisée: Il engendre des opportunités pour que les membres de l’écosystème puissent se soutenir mutuellement dans la commercialisation et la distribution de leurs produits ou services.

    Gestion des Capacités et des Risques: En démultipliant les capacités d’action, le catalogue contributif reconnaît également la nécessité de gérer les risques potentiels, d’où l’importance d’un cadre clair et de processus bien définis.

    Intégration dans l’Écosystème Contributif

    Cadre Clair avec le #CodeSocial: Le catalogue contributif fonctionne dans le cadre de la démarche #CodeSocial, assurant que toutes les interactions et coopérations se font selon des règles claires et éthiques.

    Processus Définis par l’ECC: L’Environnement Contributif et Connecté (ECC) facilite les interactions fluides et l’organisation agile au sein de l’écosystème, en soutenant la collaboration décentralisée.

    Confiance Comme Enjeu Majeur: La confiance est l’élément clé de cet écosystème, permettant à ses membres de coopérer efficacement sans craintes ni restrictions.

    Outils pour l’Expérimentation et la Collaboration: Divers outils sont expérimentés pour assurer une collaboration efficace, y compris un système d’information qui favorise l’ holoptisme et la stigmergie (brain://lt2i4zMUu0uvp73BZLxIWg/Stigmergie).

    Impact et Application

    Faciliter l’Esprit #OFF: Le catalogue contributif est également un moyen de propager l’esprit #OFF, en promouvant une coopération ouverte et une culture d’expérimentation et de partage.

    Visibilité et Croissance des Offres et Opportunités: En partageant des offres et des opportunités au sein du catalogue, les membres de l’écosystème peuvent accroître leur visibilité et leurs opportunités de croissance.

    Conclusion

    Le catalogue contributif, en tant que partie intégrante de votre écosystème contributif, représente un outil puissant pour la coopération et la collaboration. Il soutient l’idée d’un écosystème basé sur la confiance, la transparence et l’engagement mutuel, où les membres peuvent partager et développer leurs offres dans un environnement soutenant et éthique. Cette approche promeut non seulement la croissance économique mais aussi l’interconnexion et la solidarité entre les différents acteurs, alignant les activités commerciales avec les valeurs de coopération et de contribution collective.

    un des objectifs de l’écosystème contributif WeMob est de permettre une coopération forte entre les différents membres de l’écosystème. Le catalogue contributif notamment, engendre des dynamiques de co-essaimage et de commercialisation croisées.

    Ce faisant, nous démultiplions nos capacités d’actions, et aussi, potentiellement, les risques de tensions, de frictions. D’où l’importance de se doter d’un cadre très clair (#CodeSocial) et de processus bien définis (ECC).

    L’enjeu majeur est celui de la confiance, dans la mesure où celle-ci permet à chacun de se libérer de ses peurs et de s’ouvrir pleinement.

    Nous concevons cet écosystème comme un espace de pleine confiance permettant à ses membres de s’ouvrir pleinement à la coopération.

    A cette fin, nous expérimentons un certain nombre d’outils dont l’objectif est de permettre à cet écosystème :

    D’oeuvrer ensemble efficacement sur la base de règles clairement définies (Démarche #CodeSocial)
    D’interagir de manière fluide (Système d’information holoptique et stigmergique (qui décrit précisément ces conditions d’ouverture ouvert)
    De collaborer de manière agile et décentralisée
    De faire connaître et déployer l’esprit #OFF (brain://KpGnRlVIckWu967f38BlMQ/LespritOff)
    De partager nos offres et opportunités (Catalogue contributif)

  • Compostage pour incarner les intentions premières

    Compostage pour incarner les intentions premières

    Depuis fin 2019, WeMob se construit à partir du compostage du capital immatériel développé autours de l’idée de la Révolution du Sourire. Mathieu Coste, a pris en main le développement des activités de WeMob à la fin de l’année 2020. Avec le soutien et les contributions des premiers associés, les bases se solidifient afin de proposer un socle pour déployer une vision ambitieuse pour le développement d’une économie fluide de la connaissance ouverte au service du vivant.

  • La Maison de ChezNous

    Après un passage à Amiens, WeMob a choisit d’installer son siège social à la maison de ChezNous. C’est une volonté d’incarner l’intention de développer un réseau de lieu d’accueil, de connaissances et de créativité pour accompagner au déploiement de son écosystème contributif. Située en Auvergne, dans un paysage qu’on nomme la Toscane auvergnate, la “Maison de ChezNous” à Vichel est un lieu hybride au service de l’accueil et de la créativité.

    A travers ces lieux, WeMob développe une approche originale sur les développement d’un système d’information territorial en bien commun au profit de territoires apprenants et résilients.

    Située en Auvergne, dans un paysage qu’on nomme la Toscane auvergnate, la “Maison de ChezNous” à Vichel est un lieu hybride au service de l’accueil et de la créativité.
  • La pyramide inversée

    Dans la démarche #CodeSocial, le “bien commun” se construit à partir du modèle de la pyramide inversée, un modèle constitué des interactions en continu de trois types d’acteur: auteur, éditeur et contributeur. L’intention de l’organisation en “pyramide inversée” est de reconnaître l’apport de chacun pour créer la confiance et les conditions de la coopération.

    Le concept de la pyramide inversée a pour intention de reconnaître l’apport essentiel des contributeurs et la co-création entre l’auteur et les contributeurs, qui part du constat d’un déséquilibre et d’un besoin et une envie d’agir.

  • Les matrices de richesses

    Idées générales

    Pourquoi ?

    Le concept des  matrices de richesses est une méthodologie  qui permet la construction d’une représentation des flux de richesses dans les relations et les échanges qui composent un écosystème contributif.
    C’est une méthodologie qui s’emploie de façon complémentaire avec la démarche #CodeSocial.
    La démarche #CodeSocial permet l’établissement de règles précises et de principes opposables. Elle a pour effet de créer les conditions pour le développement d’un territoire de confiance favorisant le développement de dynamiques fondé sur la liberté d’initiative et les collaborations croisées. 

    Dans ce cadre l’intention des matrices de richesses est de permettre une visualisation et une prise en compte de toute la richesse générée à travers chaque relation, chaque échange. C’est un outil pour accompagner la prise de conscience de la richesse de la relation et de ce qu’elle nous apporte, de ce qu’elle révèle chez chacun, dans la rencontre.

    Comment ?

    Les Matrices de Richesses peuvent être associées à une diversité de contextes (un projet, une action, une personne, un évènement ). Les matrices de richesses se construisent à chaque fois qu’il y a un échange, à chaque action. Elle permet de prendre en compte des valeurs matérielles (euros, tokens, joules, kg) et immatérielles (temps, satisfaction, épanouissement, pénibilité, joie, motivation…)

    Il y a construction de matrices de richesses dans chaque contexte de l’écosystème. Dans chaque contexte, des richesses sont  échangées. Une attention particulière est mise sur la notion de satisfaction et sur la notion de valorisation concrète en euros ou autres. L’euro lorsque c’est facile, simple et évident; un autre moyen de valorisation lorsque c’est possible et souhaitable. 

    L’important est de garantir un fonctionnement en adéquation avec le système sociétal actuel et permettre de libérer les potentiels créatifs en répondant de façon satisfaisante au besoin de ressources en euros tout en œuvrant à l’évolution du système global. C’est une dynamique au service d’une métamorphose douce.

    La matrice de richesses se construit de façon différente à chaque fois

    • à partir de l’auto-déclaration de chaque partie prenante
    • à partir du journal des actions, de la mise en récit d’un contexte

    Les matrices de richesses se construisent soit a priori soit a posteriori et dans une dynamique de validation par les parties prenantes. Les matrices de richesses se construisent sur des temporalités déterminées au cas par cas.
    Dans le cas d’une organisation, la matrice de richesses pourra être réalisée à intervalles réguliers, une fois par mois par exemple, et pourra faire l’objet d’un temps collectif. Dans le cas d’un projet, elle pourra faire l’objet d’une initialisation en tout début de projet, d’un point d’étape en milieu de projet, et d’une finalisation en fin de projet.

    L’objectif est de construire une capacité d’analyse fine des flux de richesses afin de devenir un support d’aide à la décision en s’appuyant sur une réalité commune partagée.

    Évaluation de la richesse des processus

    Mise à plat – transparence

    Une matrice de richesses doit être précise, et permettre l’établissement d’une comptabilité analytique traditionnelle. Faire la matrice des richesses, c’est donc faire une compta analytique qui pourra être utilisée dans des contextes plus traditionnels. L’objectif est de ne pas créer de doublons avec une approche traditionnelle de comptabilisation mais de l’enrichir, dans une approche complémentaire.

    Une matrice de richesses inclut une autre dimension que la compta traditionnelle, dans la mesure où elle comporte des éléments qualitatifs, liés aux processus.

    Là où la compta analytique permet d’exprimer des crédits et des débits sur du quantitatif, et d’en faire le bilan, la matrice de richesses ajoute la possibilité d’évaluer les points forts et les points faibles d’un processus collectif, et d’en faire le bilan, en valorisant la richesse immatérielle, dans une approche qualitative.

    Elle inclut une démarche réflexive et introspective, une démarche rétrospective (similaire à celles des méthodologies agiles) au cours de laquelle l’équipe évalue la « qualité » du processus : Quels ont été les points agréables, les points qui peuvent être améliorés. 

    Qualité de la relation

    Construire la matrice de richesses devient ainsi un élément essentiel de la cohésion et de la qualité de la relation au sein de chaque échange (ou interaction) et au niveau plus global de l’ensemble de la communauté et de la puissance de la relation en conscientisant la richesse de la confiance qui se tisse progressivement dans la communauté:

    • L’expression et le partage authentique de son ressenti et des points à améliorer, dans le cadre de moments collectifs, bienveillants et constructifs, permettent au groupe de s’inscrire dans une démarche de sincérité. Elles permettent en outre de faire progresser tout le monde …
    • L’expression et le partage de l’enrichissement permettent d’identifier les bonnes pratiques, de se féliciter et d’exprimer reconnaissance et gratitude, ce qui renforce la qualité du lien et le climat de confiance. Cela crée les conditions d’être dans une attitude de reconnaissance de l’apport et du rôle de chacun..

    La première intention est de permettre de porter attention sur la qualité de la relation, sur la volonté d’entretenir un climat de confiance dans la relation à soi & aux autres. L’argent (l’art d’être avec les gens) est la matérialisation d’un échange d’énergie une conséquence de la dynamique des matrices de richesses. La construction des matrice de richesses dans l’écosystème  permet à une équipe d’évaluer un projet, dans toute sa richesse et sa complexité, prenant en compte la qualité de la relation et la richesse que génère les échanges.Il s’agit de s’assurer à tout instant de la qualité du lien, de la qualité de la relation entre les parties prenantes et la relation à soi, intimement liée à la relation à l’autre.  C’est aussi un outil précieux pour évaluer la cohérence (co-errance) et l’intégrité (congruence) entre les intentions exprimées et les actions mises en œuvre.

    Rétribution des acteurs du processus

    La seconde intention des matrices de richesses consiste à permettre une rétribution juste et collectivement acceptée des contributeurs.

    Ceux-ci :

    • Évaluent et expriment leur situation ainsi que leurs besoins personnels.
    • Évaluent et expriment leurs contributions :
      • Sur un plan quantitatif :
        • Nombre d’heures consacrées: le niveau de granularité doit être mesuré : la dizaine d’heures semble être une bonne unité de base.
        • Notes de frais 
        • Un historique des actions majeures est réalisé
      • Sur un plan qualitatif :
        • Nature des contributions réalisées: production, documentation, communication, networking, animation, mise en joie, etc.
        • Auto-évaluation de la qualité du travail effectué complétée d’une certification par les pairs
        • Rétrospective: évaluation des points forts et des points à améliorer (non prise en compte pour les rétributions)

    voir : https://bra.in/5jYZK2

  • ECC

    Des outils et des pratiques pour faire vivre l’intelligence collective et le développement des richesses et des relations humaines

    l’ECC facilite et accompagne la co-construction du territoire de connaissance en créant les conditions de la stigmergie et de l’holoptisme. 

    Nous posons les bases pour une recherche action sur les dynamiques collaboratives entre acteurs autonomes et reliés par l’utilisation complémentaire de technologies numériques et sociales.

    L’intention est d’allier technologie & humain en harmonie, à l’image de l’humain et la nature, l’un s’inspirant de l’autre dans une relation harmonieuse et vivante.

    L’environnement contributif et connecté (ECC) est un ensemble d’outils, de techniques, de pratiques et d’usages qui accompagnent l’ensemble des actions de l’écosystème. Il se concentre sur les moyens adaptés à la mise en œuvre de la collaboration et l’intelligence collective au service de l’incarnation des intentions. 

    Nous appelons ECC (Environnement Contributif et Connecté), 

    • Des méthodes et approches relationnelles qui favorisent l’inclusion, l’hospitalité, le renforcement d’une culture commune, l’efficience et la reliance d’acteurs dans des équipes distribuées au plan organisationnel et territorial (contribution)
    • des outils logiciels au service d’un écosystème d’acteurs autonomes et reliés (connexion). 

    L’ECC repose sur deux composantes essentielles, :

    • la dimension humaine : conditions émancipatrices de contributions: adoucir et donner du sens de notre rapport à la technologie en la reliant au sens et aux intentions profondes
    • la dimension technologique et technique : conditions logicielles et matérielles de la créativité en équipe distribuées.


    Ces 2 dimensions évoluent simultanément ensemble, dans un cercle vertueux. 

    La technologie est au service de l’humain et évolue au rythme de ses besoins. Et en même temps la meilleure prise en main des outils permet de contribuer et de naviguer dans l’information permettant à chacun de gagner en autonomie. 

    Ainsi, l’ECC s’inscrit dans la définition de l’intelligence collective suivante :

    “L’intelligence collective est une dynamique d’acteurs co-responsables, interconnectés culturellement (soft) et organisationnellement (hard) en alliance autour de visions partagées”. Vincent Lenhardt

    Cette définition sous-tend le mouvement, l’agir, la responsabilité individuelle & partagée, le partage de valeurs communes incarnées, un processus humain et technique efficient, et un lien fort en dépit des frustrations et tensions. L’ECC contribue à faire vivre un commun de façon transparente et avec attention, autour d’une vision commune co-construite par des participants, reconnus à part entière, dans leur singularité. 

    La dynamique de l’ECC permet à chacun de mieux prendre en main son 1er M² numérique. Le 1er M² numérique est celui que l’on construit avec ce qu’on est, un peu comme on décide d’habiter sa maison, de la faire sienne. Faire en sorte que notre territoire numérique soit le reflet de notre propre territoire

    Il s’agit en quelque sorte de se réapproprier son espace numérique, en y plantant quelques graines qui le rende plus facile d’utilisation, plus proche de soi, adapté à ses besoins.

    C’est autant une question de matériel, de logiciels, de connexion qu’une question de navigation, de sujets de recherche, d’humeur, de temps à y consacrer, d’enjeux personnels, d’envies d’apprentissages, de respect de son propre rythme et surtout de l’intention que l’on met lorsqu’on entre en relation avec la technologie.

    L’ ECC a pour intention de :

    • relier les équipes distribuées pour mieux mettre en lumière les singularités et la diversité en garantissant la liberté et l’autonomie,
    • d’offrir un espace donnant la possibilité à chacun de suivre et participer à la vie du réseau, autour de valeurs de transparence, inclusion, partage, échange, co-construction
    • Interagir de manière fluide : Créer un système d’information ouvert
    • Assurer une transparence des flux : Permettre la création d’une comptabilité ouverte et partagée
    • Partager nos demandes, nos offres et opportunités : Permettre la création d’un catalogue contributif éditable et consultable en ligne . 
    • Répartir équitablement la valeur collectivement générée : Opérationnaliser les matrices de richesses – Dividende contributif
    • créer les conditions pour favoriser la résolution de conflits

    L’ECC est un outil à l’image de l’intention de la mutuelle des connaissances, dans une approche vivante qui évolue à travers l’expérience des contributeurs pour s‘ajuster dans le déploiement de la mutuelle 

    L’ECC se développe  à partir des relations et des usages pour fournir une version en cohérence (ou en phase) avec les intentions de la démarche #CodeSocial et qui va évoluer au fil des usages

    Il est essentiel d’avoir en tête que l’outil est au service et non l’inverse, et en même temps l’outil peut aussi nous inspirer, tout en permettant à l’être humain de conserver son pouvoir, sa responsabilité à travers la façon dont il choisit d’utiliser l’outil et-ou de le faire évoluer.

    Les fonctionnalités de l’ECC

    Un espace pour:

    + avoir une documentation active transparente de tout projet

    + créer des documents collaboratifs

    + la gestion d’agenda partagé

    + la veille collaborative

    + l’éditorialisation thématique

    + la prise de décisions

    + la co-construction et l’allocation de budget

    + la gestion de contacts

    et nombreuses autres fonctionnalités au fil des besoins..

    L’ECC et la démarche #CodeSocial

    Ainsi le lien entre l’ECC et la démarche #CodeSocial est fondamental tout comme la nécessité d’incarner, dans l’expérience, ces deux approches.

    • valider collectivement une première version du #CodeSocial de l’organisation
    • accompagner le cycle de recherche de cohérence afin de rester au plus proche des intentions et des missions de l’organisation / projet.
    • maintenir la dynamique d’amélioration permanente du #CodeSocial