Assumer notre époque et notre positionnement
Nous vivons une époque où l’information est devenue une arme. Fake news, manipulations algorithmiques, influence occulte : il ne s’agit pas d’un fantasme “complotiste” mais d’une réalité documentée. Face à cela, la plupart des acteurs réagissent par la méfiance, l’isolement ou la paranoïa. Nous faisons un choix radicalement différent : celui de la transparence et de la reliance.
Nous assumons la nature complexe du vivant et cherchons l’équilibre pour vivre en harmonie. Nous sommes idéalistes mais pas naïfs. Nous reconnaissons aussi que cette guerre cognitive n’est pas nouvelle et puise ses racines dans une mauvaise appréhension de la complexité du vivant. Nous pouvons évoluer à partir d’une démarche sincère de co-naissance.
Cet article est un acte de transparence. Parce que nous ne jouons pas à ce jeu du secret et de la manipulation.
Comprendre la guerre cognitive et ses armes
La guerre cognitive ne repose pas seulement sur des opérations discrètes menées par des groupes comme Team Jorge, l’IRA (Internet Research Agency) ou QAnon. Elle s’appuie sur un écosystème global de manipulation et de contrôle des récits.
Le mauvais usage du marketing et des algorithmes
- Techniques de persuasion comportementale pour maintenir la population dans un état de dépendance cognitive.
- Micro-ciblage et manipulation algorithmique enfermant les individus dans des bulles informationnelles.
- Culture du hacking psychologique, exploitée par les plateformes pour capter l’attention plutôt que nourrir la réflexion.
Les médias non éthiques et la fabrique du consentement
- Narratifs orientés servant des intérêts économiques et politiques au détriment de la vérité.
- Clickbait et polarisation maintenant les populations dans un état d’urgence émotionnelle.
- Brouillage entre journalisme et propagande, facilitant la manipulation des masses.
Le lobbying et la capture des récits publics
- Influence des multinationales sur la politique et la régulation.
- Narratif du “progrès inéluctable” pour neutraliser toute critique.
- Infiltration des institutions par des groupes d’intérêts opaques.
La surconsommation comme arme cognitive
- Maintien dans un état de distraction permanent.
- Création de besoins artificiels et renforcement de l’individualisme.
- Saturation de l’espace mental, rendant impossible le recul critique.
5. Les abus religieux et la manipulation des croyances
- Instrumentalisation des religions à des fins de pouvoir et de contrôle.
- Confusion entre spiritualité et endoctrinement, exploitée pour manipuler les consciences.
- Narratifs de peur et de culpabilité, maintenant les populations sous influence.
Les réseaux d’influence fermés
- Clubs élitistes, cercles de pouvoir, think tanks opaques dictant l’agenda politique et économique.
- Capture des décisions politiques par des groupes hors de tout contrôle citoyen.
- Verrouillage des espaces de décision, excluant toute participation populaire.
Le D#CS comme alternative à la guerre cognitive
Face à ces stratégies de contrôle, nous avons choisi une approche radicalement différente :
✅ La reliance au lieu de la fragmentation : chaque graine de connaissance est reliée aux autres dans un réseau évolutif et organique.
✅ L’inform’action au lieu de la consommation passive : nous ne subissons pas l’information, nous compostons les récits pour en extraire du sens et de l’action.
✅ L’Amour comme force motrice au lieu de la peur : nous ne sommes pas là pour “lutter” mais pour faire émerger un autre écosystème cognitif, basé sur la joie et la créativité.
✅ L’économie consciente au lieu de la dépendance consumériste : WeMob et la PAZ (Zone Autonome Permanente) offrent des espaces où l’intelligence collective peut se structurer.
Assumer un positionnement radical et transparent
Cet article est un acte de résistance cognitive :
- Nous refusons de jouer le jeu du secret et de la manipulation.
- Nous affirmons publiquement notre démarche et nous l’ouvrons à celles et ceux qui veulent contribuer.
- Nous ne nous cachons pas. Nous assumons notre rôle dans cette dynamique.
Une invitation à reprendre le pouvoir sur notre souveraineté cognitive
Nous ne combattons pas la guerre cognitive : nous la rendons obsolète.
Ce n’est pas un appel à la paranoïa.
Ce n’est pas un appel à la peur.
C’est une invitation à reprendre en main notre souveraineté cognitive.
Nous ne sommes pas seuls. Nous sommes déjà en action.